Babysolo33 :
En raison de l'annulation de son concert au Printemps iNOUïS en 2020 (due à la COVID-19), Babysolo33 se produira au Printemps de Bourges Crédit Mutuel lors de l'édition 2021.
En featuring avec Myth Syzer, s'accompagnant à la production de Piège, DJ Weedim ou encore Binks Beatz sur des morceaux de trap massifs, sans pour autant cracher sur la douceur du cloud rap, Babysolo33 touche à tout. Avec son pseudo rappelant les belles heures de Skyblog, la Bordelaise écrit ses textes comme autant d'entrées d'un journal intime plus si intime. Une mélancolie rap autotunée qui donne pourtant toujours envie de danser.
Banditminuit :
Chanson Pop - France
Grand Est
Fils d'une chanteuse lyrique, Albert Jung Masquida est baigné dans la musique depuis ses premières heures, lui qui tentait ensuite d'imiter les vocalises de l'opéra depuis sa chambre d'enfant. A 24 ans, c'est finalement vers une pop synthétique tout texte en avant et rappelant parfois Tim Dup que le Strasbourgeois se dirige, autant de journaux intimes où il fait se rencontrer Damso et Bashung. Beau grand écart !
Igee :
Un beau grain de voix quand du chant se mêle à son rap et depuis peu un premier EP aux textes nihilistes : à tout juste 23 printemps et comme le confie son excellent « Un Homme pressé », IGee n'a pas perdu une minute pour apprendre à tout faire. Et quand, souvent, des influences rock viennent pointer le bout de leurs guitares au coeur de compos racées, on se dit que le Bordelais a bien fait de se hâter : la magie opère.
Okala :
Le discret Okala et sa voix haut perchée façonnent de petits joyaux de pop luxuriante, où les années 90 de Air côtoient les spectres de Michel Legrand et François de Roubaix. Une science des mélodies hors du temps, empruntant leurs synthés aux années psyché et leurs ambiances aux grandes heures de l'electronica, de quoi offrir à l'Amiénois un écrin sophistiqué à ses ritournelles en anglais. Classy !
Joye :
Le discret Okala et sa voix haut perchée façonnent de petits joyaux de pop luxuriante, où les années 90 de Air côtoient les spectres de Michel Legrand et François de Roubaix. Une science des mélodies hors du temps, empruntant leurs synthés aux années psyché et leurs ambiances aux grandes heures de l'electronica, de quoi offrir à l'Amiénois un écrin sophistiqué à ses ritournelles en anglais. Classy !
Chester Remington :
En passant du rock stoner au psychédélisme, sans se priver de lourds et épiques riffs de guitare et de références au surf rock des 60s, le Rémois Chester Remington construit de fascinants morceaux en forme de labyrinthe où se retrouveraient au centre Soundgarden, Beck et Queens Of The Stone Age en train de boire des bières en canette. On peut venir ?
